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Informations Lithothérapie

Lithothérapie
Lithothérapie
Le terme « Litho » vient du grec (pierre). La Lithothérapie est une médecine douce.

Les pierres ont un pouvoir énergétique et cette énergie est transmise dans corps. Elle fait débloquer vos énergies. Le corps humain a 80.000 nœuds énergétiques. Si vos énergies sont bloquées, votre organisme ne fonctionne pas bien (maladie, fatigue, stress etc.)      

La valeur thérapeutique des minéraux et roches est reconnue depuis les temps très anciens. C'est la synergie naturelle des composants de ces roches qui confère à la Lithothérapie une efficacité sans doute plus profonde que celle de l'oligothérapie classique. Comme son nom l'indique, la Lithothérapie déchélatrice est une oligothérapie possédant à la fois un pouvoir catalytique et une action déchélatrice. Les grands prêtres d'Egypte étaient des guérisseurs réputés, même au-delà des frontières de l'Egypte et ils utilisaient de nombreuses pierres précieuses, qu'ils portaient en autre sur eux. Ils en tiraient la force et le pouvoir nécessaire à la guérison des malades.

         La Lithothérapie utilise l’énergie des pierres pour rétablir l’équilibre corps-âme-esprit. Elle nous aide sur le plan physique, psychologique et spirituel par la libération de certains blocages émotionnels. Elle a une action rapide et sans effets secondaires.

        L’énergie des pierres est liée à leur composition chimique, à leur couleur et à leur forme. Elles travaillent sur tout notre corps, mais surtout sur nos chakras (centre d’énergie). Le simple fait de porter une pierre sur soi permet de profiter de ses énergies. La Lithothérapie utilise l'énergie naturelle des minéraux.
 
Le Lapis-Lazuli était déjà employé comme parure dans les temps préhistoriques. En Égypte ancienne, le Lapis-Lazuli était une pierre importante, au même titre que la Turquoise, on le considérait comme la pierre des dieux. Les Égyptiens transformaient le Lapis-Lazuli en scarabées, en objets symboliques, en parures.

Au Moyen Age, il était utilisé broyé comme pigment de peinture par les grands maîtres et servait aussi aux teintures de tissus.
 
Diverses cultures ont donné une place de choix à la Turquoise. C'est encore ainsi en Orient. En Grèce et en Turquie, les gens portent souvent une Turquoise. Ils vont même jusqu'à en accrocher sur le licou de leurs chevaux et de leurs ânes. Le nouveau-né reçoit une petite Turquoise contre le mauvais œil. Jadis, en Egypte, la Turquoise était considérée comme une pierre sacrée. Au Tibet, les parures associent souvent la Turquoise (talisman, amulette) et le Corail rouge (symbole des incarnations du Bouddha. Chez les Amérindiens c'est la pierre sacrée, liée au culte du soleil et du feu. Pour les Aztèques, Hiuhtecuhtli, le maître de la turquoise, est le dieu du feu. Huitzilopochtli, dieu aztèque de la guerre, divinité solaire, est le prince de turquoise).
 

En Egypte, la Malachite était particulièrement appréciée. Elle servait à la représentation de symboles, mais aussi pulvérisée comme fard pour les yeux et prophylactique des infections oculaires.
 
A cause de sa couleur vert vif, la Malachite est un plaisir pour l’œil. Le spectacle de la malachite dans l'exubérante civilisation égyptienne a dû être exaltant. Les Egyptiens utilisaient abondamment le Cuivre, la Malachite, le Lapis-Lazuli et la Turquoise : une combinaison de couleurs magnifique.
 
Dans les temps préhistoriques, on fabriquait des armes car le Jade possède une grande résistance aux chocs. Introduit dans le culte des dieux, le Jade fut sculptée en figurines sacrées.
 
Ce sont les Espagnols qui baptisèrent cette pierre « piedra de ijada » (pierre des flancs) lors de la conquête des Amériques.
 
 
Le Jade est réputé pour ses vertus curatives, depuis la plus haute antiquité en Amérique du Sud et en Amérique Centrale chez les indiens précolombiens,
 
Le Jade est la pierre de prédilection des Chinois, ils en portent toujours une lorsqu'ils négocient, car elle favorise l'honnêteté et la justice. Il est aussi utilisé par les guérisseurs traditionnels qui en appréciaient les hautes vertus. Aujourd'hui, seule la Chine travaille encore le jade avec le talent que l'on sait. Il est bénéfique d'avoir une figurine ou un objet sacré en jade dans son environnement.
 
Les anciens connaissaient parfaitement l'Emeraude et la portaient en haute estime. Pline la place immédiatement après le Diamant et la Perle ; d'autres la mettaient au-dessus de tout. Un spécimen vert réellement beau l'est tellement qu'il semble impossible que d'autres gemmes puissent soutenir la comparaison. On prétendait que regarder une Emeraude améliorait la vue. Les Egyptiens de l'antiquité, les Hindous, les Grecs et les Romains l'ont bien connue. Pour les brahmanes de l'Inde, qui utilisaient les pierres précieuses pour orner les statues de leurs dieux, l'émeraude était la pierre qu'ils ont recherchée et employée le plus. Les musulmans en ont souvent fait des amulettes en y gravant des versets du Coran. Quand les Espagnols conquirent l'empire inca du Pérou, ils y trouvèrent d'énormes quantités d'émeraudes qui le plus souvent décoraient les temples indigènes et qu'ils ramenèrent en Europe. Et il en fut de même des Emeraudes mexicaines. On prétendait que les Emeraudes changeaient de couleur, qu'elles pâlissaient lorsqu'il y avait tromperie ou trahison, tout comme le rubis se modifiait devant une maladie ou du poison. On disait aussi que l'Emeraude favorisait l'amour. Pour les Chaldéens, ce fut la pierre de la planète Vénus, et l'on a souvent représenté la déesse Vénus tenant à la main une pomme, verte elle aussi. Parfois, les Emeraudes se présentent en grandes quantités mais elles ne sont jamais de belle qualité. Aussi les a-t-on utilisées, peut-être, dans la construction, ce qui expliquerait certaines déclarations des auteurs classiques : Hérodote, Théophraste, Appian et Pline mentionnent des masses gigantesques de pierres qui, naturellement, n'ont pu être de vraies Emeraudes comme on l'a cru à l'époque. D'après plusieurs écrits égyptiens, Théophraste cite une Emeraude de quatre coudées* de long et de trois d'épaisseur, que le roi de Babylone avait envoyée au Pharaon. Il parle également d'un obélisque dans un temple de Jupiter (probablement le temple d'Ammon en Egypte), constitué par quatre Emeraudes de quarante coudées de long et d'une épaisseur variant de deux à quatre coudées ; et il mentionne en outre une colonne du temple d'Hercule à Tyr - à la même époque - qui n'était qu'une unique Emeraude. Au Moyen Age, ces histoires miraculeuses se retrouvent dans les récits légendaires du Prêtre Jean et du Saint Graal. Dans les temps modernes, on a bien découvert dans les monts Oural, en Russie, de fortes quantités d'émeraude. Toutefois, le bloc le plus gros ne fait pas une coudée de long, si bien que rien n'est venu jusqu'ici confirmer les affirmations des anciens.

Par conséquent le Saphir a été consacré au dieu du ciel (Indra dans l'Inde, Zeus en Grèce et Jupiter à Rome). Les bouddhistes ont fait de lui la pierre de la dévotion et de l'illumination spirituelle. Dans l'église chrétienne, le Saphir est la pierre des cardinaux, mais il était jadis porté par tous les évêques. En astrologie, il correspond à la planète Jupiter.
 
Le Rubis, pierre de la victoire et de la réussite dans l'antiquité. On l’appelle parfois « le roi des pierres ». Sa place est chez les rois, les détenteurs du pouvoir. En Indonésie, c’est la pierre de la puissance et du prestige et en Inde, le Rubis est depuis toujours une pierre de première importance, liée à la force et à la domination. S'il a souvent mauvaise réputation parmi les femmes galantes, les actrices célèbres, c'est qu'il fut parmi les pierres préférées de Marie-Antoinette et de la tzarine Alexandra Fedorovna.

La tradition attribue au rubis le pouvoir de bannir la tristesse, d'éloigner la peste et de détourner l'esprit de toute mauvaise pensée. Offrir un Rubis à une femme c'était se garantir contre son infidélité. On prétend que les Rubis empêchent la trahison, mais qu'ils se vengent des infidèles.
 
Le Topaze autrefois appelée “pierre de joie” son rayonnement dissout les idées noires et combat les états dépressifs. Les Indiens de l'Arizona l'appelaient aussi “pierre du bonheur” car elle rendait les femmes amoureuses et fécondes.
 
Le Diamant d'après Pline, les Diamants ont une « antipathie » pour les aimants naturels. Les anciens ont bien connu cette gemme. Elle leur est venue de l’Inde. Parmi les premiers endroits mentionnés, on citait alors la ville de Golconde, près d'Hyderabad. De 1507 à 1687, Golconde constituait un royaume indépendant que gouvernait un souverain musulman, le Kuth Shah. On y extrayait dans la région des diamants souvent de taille considérable et on les envoyait dans la capitale, à Golconde même, d'où ils étaient vendus dans le monde entier. Les mines de Golconde furent conquises par les Britanniques, mais avec l'apparition d'autres sources plus riches, elles cessèrent bientôt d'être exploitées. On croit aujourd'hui que cette région, complètement épuisée, ne contient plus de diamants bruts et elle est complètement délaissée, mais il existe toujours une mine de diamants autour de Panna, en Inde centrale. En 1728, on découvrit des diamants au Brésil, et en 1868 en Afrique du Sud, dans la région du fleuve Orange. Près de soixante pour cent de tous les diamants du monde proviennent maintenant des mines de l'Afrique du Sud, et on en trouve également au Congo et en Afrique occidentale. On peut encore citer comme centres de production l'Australie, l'Indonésie, et les monts Oural en Russie. Et chose curieuse, les diamants et l'or se trouvent souvent aux mêmes endroits.
 
Aujourd’hui, notre monde redécouvre que les minéraux peuvent nous aider à guérir ou à maintenir notre corps en bonne santé grâce à l’harmonisation de notre système énergétique.

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